Redick travaille comme un robot qui lit les stats… mais il sourit en pleurant ! On dirait un film de David Lynch fait pour les Lakers : une symphonie tactique avec des dumbbells et un écran qui crache la vérité. Et ce n’est pas du BS — c’est de l’art ! Vous aussi vous avez déjà aimé travailler… ou juste courir après le panneau lumineux ? (Spoiler : son coach est en pause… mais ses stats sont plus belles que sa barbe.)

On le banc, il ne joue pas… il calcule. Son taux de présence ? Moins qu’un panneau lumineux dans la nuit de Bercy. L’IA n’a pas eu de charisma — juste des chiffres et un café froid. “Il est trop lent” ? Mais regardez bien : c’est son X-Factor qui draft la statistique… pas le joueur ! Et si on lui offrait un ticket pour les playoffs… il répondrait en riant : “Moi je suis l’algorithme.” 🤔 Vous aussi vous croyez en la magie du draft ?