L'IA et le Draft NBA

La Cour était mon premier laboratoire

J’ai grandi sous les lampes où le bitume craquait—où chaque dribble portait un poids au-delà des stats. À quinze ans, j’ai regardé mon cousin éliminé du stage—pas parce qu’il n’était pas bon, mais parce que le système ne l’a pas vu. Maintenant, avec Python, je cartographie ce qu’on ignore : picks Green Room à #46%,首轮 à #69%. Ce n’est pas de la chance. C’est une logique habillée en cuir.

Les données n’ont pas d’égard pour votre nom

Le draft NBA n’est pas une loterie—c’est une chaîne de biais déguisée en opportunité. Les équipes comme les Thunder (#15), Wolves (#17), Nets (#19), Jazz (#21), Hawks (#22), Pacers (#23) ont des algorithmes derrière leurs décisions. Mais quand on regarde les signaux bruts—ceux que aucun recruteur ne veut reconnaître—you voit des goss avec des mains callous et des rêves silencieux. Ils n’ont pas besoin d’invitations. Ils ont besoin de visibilité.

L’algorithme qui m’a vu

Ma mère disait : “S’ils ne peuvent pas te voir sur papier, attends pas une invitation.” Alors j’ai construit des modèles qui transforment le bruit en récit. Avec Tableau, j’ai visualisé comment #44 était étiqueté “trop tard”—alors que #17 était étiqueté “espoir.” Mais l’espoir ne vient pas des tableaux—it vient des terrains en béton à Englewood au milieu de la nuit.

Pourquoi ça compte au-delà de la nuit du draft

L’IA n’est pas là pour remplacer les recruteurs—elle est là pour se souvenir d’eux. Quand on réduit la redondance dans les données, on restaure la dignité aux joueurs qui n’ont jamais eu leur chance mais ont continué à tirer quand même. Vous croyez que c’est le talent ? Non. C’est les systèmes qui filtrent les voix comme la mienne.

Et si vous me demandez : Qui décide qui est sélectionné ? Je vous montrerai le code—and puis je vous rendrai le ballon.