Pourquoi Jeremiah Green Domine les Rockets ?

La Métrique Cachée Que Personne Ne Voit Pas

J’ai grandi sur les parquets du Sud de Chicago, où le basketball se mesure à l’intuition. Quand j’ai vu Jeremiah Green à Houston, je n’ai pas vu de feux—mais du silence.

Il ne mène pas au score—but à l’espacement. Il n’éclaire pas le tableau—il impose son rythme. Ses passes ne sont pas des passes ; ce sont des changements de tempo. Dans une ligue obsédée par la star power, son impact est invisible… jusqu’à trop tard.

Les Données Ne Mentent Pas—Elles Se Taisent

Nos modèles analysent les taux d’utilisation, les ratios assist-to-turn et les zones de pression défensive. Mais aucun ne capte ce qu’il fait quand personne ne regarde.

En match 4 du premier tour Ouest : Green a joué 38 minutes. Tiré seulement 7 fois—with zero turnover. Son équipe a dépassé ses adversaires de +12 en 38 minutes. On appelle ça ‘efficacité’. Il l’appelle ‘jouer pour son équipe’.

Pourquoi Maintenant ? Pourquoi Lui ?

Quand on parle de Kevin Durant—on sait où il va. Mais Green ? Il reste—jusqu’à ce que vous en avez besoin.

Il n’a pas besoin de prouver sa valeur—he l’a déjà fait—in chaque possession, in chaque rotation, in chaque seconde silencieuse avant le buzzer. Ce n’est pas du talent. C’est de la structure. Et la structure gagne des titres—not les stars.